BABBU

Babbu, notes sur la peinture d’Antoine Pallavicini

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Orphée ne croit pas à la mort. Il traverse l’enfer pour rechercher Eurydice. Antoine Pallavicini dans BABBU dessine ce qui ne meurt jamais, cette parole investie de l’amour s’originant dans l’enfance, parole mythique opposée à l’histoire et hantée du geste sacré qui la prolonge au-delà d’elle-même. Les visages du père et de l’enfant ont leur propre langue.

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